PARIS – « Ce soir, il n’y a pas deux France qui se font face« , a déclaré François Hollande dans son discours de victoire. Il est à craindre qu’elles ne se tournent le dos, à l’image des affiches des deux candidats finalistes devant l’école du 19e arrondissement de Paris où j’ai voté.
Nicolas et François sont dans un bateau. Nicolas tombe à l'eau...
« Ce soir, il n’y a pas deux France qui se font face. Il n’y a qu’une seule France, une seule nation réunie dans le même destin. Chacune et chacun en France, dans la République, sera traité à égalité de droits et de devoirs « .
(François Hollande à Tulle au soir du deuxième tour de l’élection présidentielle de 2012)
Mais qui donc demeure via Giansetto ?
Ancien instituteur devenu journaliste, Bernard Grégoire Giansetto a couvert l’actualité internationale, les sciences et l’environnement depuis 1979. Au Québec, comme journaliste indépendant, puis en France, il a aussi travaillé à l’agence France Presse ainsi que pour l'ancien service en langue française de l’agence américaine Associated Press (AP). Il a effectué par la suite des missions pour le service d’information des Nations unies, couvrant essentiellement les sessions du Conseil des droits de l’homme et des organes conventionnels de l'ONU à Genève, ainsi que les travaux de l’Assemblée générale à New York, y compris les débats du Conseil de sécurité.
Français par sa culture et… une grand-mère picarde, mais aussi arménien et italien par ses autres ancêtres, il est québécois de cœur.
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